Recourir au concept de transactions sexuelles pour étudier l’homosexualité en prison de femmes s’avère une perspective féconde, dans la mesure où cela met en évidence les coûts et les bénéfices qu’induit l’activité homosexuelle pour les détenues. Il s’avère par ailleurs que les transactions sont soumises à différents processus de contrôle selon les espaces de la détention où elles se déroulent.