Antoine DURRLEMAN, Président
Numéro Vert
Numéro d’accès pour les personnes incarcérées : 99 # 110
Pour les familles et proches de détenus : 01 43 72 98 41
Public : toute personne confrontée à l'incarcération (détenus, familles de détenus, proches, travailleurs sociaux et professionnels).
Ouverture : du lundi au vendredi de 9h à 17h pour les familles et du mardi au vendredi de 9h à 17h pour les appels détenus.
Personnel : 3 personnes salariées dont 2 juristes et 12 bénévoles.
L'Arapej s'est donnée pour mission d'accueillir en priorité les personnes sortant de détention ou placées sous-main de justice, mais aussi les personnes en grande difficulté sociale.
Le CASP est une association reconnue d’utilité publique
1905
Le 5 aoà »t 1905, le Consistoire de Paris crée l'Association de Bienfaisance parmi les protestants de Paris et de la Seine dont le siège se situe à l'Oratoire du Louvre.
Le 9 décembre 1905, vote de la loi de Séparation des Églises et de l'État. Reconnues comme exerçant un culte officiel, les Églises réformées se constituent en associations cultuelles. Pour exercer des activités sociales, elles créent des associations de bienfaisance.
1906
Le 13 aoà »t 1906, cette institution, ancêtre du CASP, est reconnue d'utilité publique.
1956
Le 1er janvier 1956, le CAS (Centre d'action sociale) est créé par la réunion de deux institutions : l'Association de Bienfaisance et la Délégation générale des diaconats des Églises réformées.
Il se veut un organisme de formation et d'information, une cellule de travail, un laboratoire de recherche et non pas un organisme d'action sociale.
1981
Le 13 mai 1981, l'Association de Bienfaisance devenue depuis 1968 l'Association d'Entraide est transformée en CASP-RP* (Centre d'action sociale protestant dans la région parisienne).
Il s'oriente vers une action sociale délibérément ouverte aux non-protestants, embauche une première assistante sociale et reçoit des subventions publiques.
Confronté à l’émergence grandissante de nouvelles formes de détresse et d’exclusion, l’association développe alors ses activités en mettant en place des services et des structures plus spécialisés.
(* à cette appellation officielle, s'est substitué le nom d'usage : CASP (Centre d'action sociale protestant).
1996
Le CASP emploie déjà 75 salariés… et pour mener à bien ses projets et répondre à la multiplicité des attentes des plus démunis, le CASP se doit désormais d’inventer sans cesse de nouvelles formes de solidarité, d’accompagnement et de partage, ce qui demande de la part de toutes les équipes un professionnalisme exigeant et dynamique.
2014
Fort de ses équipes pluridisciplinaires et de ses bénévoles, et avec le soutien de ses donateurs, le CASP gère aujourd’hui une trentaine de services ou structures.
Avec 341 salariés et une centaine de bénévoles, le CASP est aujourd’hui l’une des plus importante association parisienne de lutte contre les exclusions.
Accueillir, orienter, accompagner en vue de la réinsertion sont les quatre maîtres mots qui caractérisent son travail.
De l’urgence (centres d’hébergement, foyer post-hospitalier, CAFDA, CADA, ESI La Maison dans la rue…) à l’insertion (CHRS, résidences sociales, services RSA, Logement, Emploi…), les équipes du CASP ont assuré plus de 450 000 nuitées d’hébergement et accompagné 25 000 personnes au cours de l’année 2014
2015
En janvier 2015 l’association a fusionné avec la Clairière et gère depuis le 1er janvier un centre social, une action petite enfance (LAEP) et une action de prévention spécialisée.
2016
Depuis le 1er juillet 2016 une fusion avec l’association Arapej amène le CASP à s’ouvrir au public en détention, sortant de prison ou placé sous main de justice, et à se déployer sur 6 départements de la région Ile-de-France.
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